27 mars 2008

Nobody lost nobody found

Une bonne nouvelle qui ne doit surtout pas passer inaperçue, Leila revient après 8 ans d'absence, une éternité, avec un album qui a comme invités Terry Hall et Martina Topley-Bird (magnifique "Marterry" écoutable sur sa page).
Une vraie Arlesienne vu que depuis que XL lui rendit son contrat un peu après la sortie du maudit "Courtesy of choice", l'Anglo Iranienne protégée de Björk et d'Aphex Twin s'est vraiment faite très rare, ne distillant que quelques bootlegs sur son site fait de bric et de de broc.
C'est dores et déjà un des disque les plus attendus cette année car même s'il y a de grandes chances qu'il ne soit pas à la hauteur de l'attente, le simple fait d'avoir une suite à sa passionnante discographie est déjà inespéré.
Pour les plus jeunes qui se demandent de qui il est question on conseillera de se rattraper très vite sur les charmes étranges de "Like weather" (un des disques qui m'ont initié à l'electronica, à peu près en même temps que le premier Boards Of Canada).
Sur l'album cité plus haut, un peu moins accessible et réussi, il y avait
cette chanson de soul moderne immense, chanté par le trop rare Luca Santucci, entendu par la suite chez Herbert et Playgroup.

Leila "To win her love"

Depuis 2000, plus rien, ou si peu, quelques apparitions comme en dj set et deux remixes qui assombrissent avec sa touche reconnaissable entre mille des singles plutôt pop.

Emilie Simon "Desert" (Leila remix)

Sia "Numb" (Leila remix)

"Blood, Looms and Blooms" est annoncé le 9 Juin chez Warp.

For those who remember her first records, hearing that electronica princess Leila is back in June for an album featuring Terry Hall and Martina Topley-Bird is quite good news.
For those who don't remember or even know her, have a listen to a stunning track from her second lp and two remixes she did before almost disapearing.

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