Découvert à l'automne 2005 "Budapest" de Poni Hoax fut un de ces chocs sensoriels qu'on ne rencontre finalement assez peu, un blitzkrieg electro pop emphatique et pernicieux d'une intensité que l'on peinait à retrouver sur le pourtant très bon premier album du groupe Parisien."Mais où est la chanteuse ?" pouvait on se demander, en ignorant que la Grèque Olga Kouklaki n'était là qu'en tant qu'invitée, fut-elle de luxe.
Cette voix autoritaire et sensuelle ne procurera peut être pas les mêmes frissons sur son album "Get a life" mais l'espace de quelques titres on est conquis. Pour les déçus des derniers Miss Kittin ("trop pop !") et Goldfrapp ("trop folk !") ce disque joliment produit par l'excellent Marc Collin, l'expert en filles sourires derrière Nouvelle Vague et Suburbia, pourra faire l'affaire.
Entre mélopées downtempo et tubes de poches sans doute propices à de remixes pervers dans les mois à venir, comme ce titre parmi les plus accrocheurs.
Olga Kouklaki "Her Own Right"
Poni Hoax "Budapest" (feat. Olga Kouklaki)
This Greek singer debut album might fill in the space between Miss Kittin and Goldfrapp, it's not very danceable unless there's some remix action goin on, but her authoritative voice combined with Marc Collin (from Nouvelle Vague) nice production is more than seductive.
Sadly, none of her new tracks top the thrills given in the first song I heard from her with electro-rock band Poni Hoax, back in 2005 .
1 commentaire:
ffiou! je connaissais pas Budapest, c'est énorme!
merci sami
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