Bel album que ce "First date" de Villeneuve, artiste bien de chez nous qui évolue dans un registre électro pop déjà largement balisé, où l'on trouve toutefois des perles de compositions et d'arrangements comme ce "The falling" qui s'écoute de préférence la nuit tombée, et en boucle s'il vous plait.
On avait découvert cet esthète sur le label Gooom avec de belles plages instrumentales et des remixes réussis pour M83 ou Agoria.
On retrouve dans ce disque d'after une des révélations de l'album Nouvelle Vague, la charmante Melanie Pain qui illumine de son doux timbre des morceaux parfois dansants ("Oh no" écoutable chez l'excellent Big Stereo ), le plus souvent lancinants, de la belle ouvrage comparable à du Hope Sandoval produit par Lali Puna.
Villeneuve "The falling"
French electro pop artist Villeneuve's new album "First date" features the sweet voice of Melanie Pain, discovered last year on the cover album Nouvelle Vague.
A collection of beautiful songs ideal for afters, with modern IDM production and classic strings arrangements, sometimes danceable but generally very quiet and slow.
30 novembre 2005
28 novembre 2005
F*** me I'm famous
C'est rare mais ça arrive, des artistes locaux arrivent par je ne sais quel moyen à percer au niveau national, à faire parler d'eux avec trois fois rien, ici un album live autoproduit, d'abord vendu à la sortie des concerts et depuis peu distribué par un assez gros label.
J'avais découvert Anais il y a une paire d'années au sein d'un groupe pop funk approximatif, elle faisait du yaourt et avait déjà la pêche.
Depuis elle a promené de tremplins en festivals son "Cheap show" principalement accoustique, alternant chansons douces amères (sur le cocufiage, le metissage, ou les niaiseries des jeunes couples) et imitations redoutables (ça va de Eddy Mitchell à Justin Timberlake).
Souvent drôle, parfois lourdingue, on ne sait jamais vraiment à quel degré prendre ses morceaux mais son tempérament et sa voix devraient la mener loin, la preuve avec ce titre à la fois sensuel et grotesque.
Anais "B-B Baise moi"
For her first album Anais hasn't released a proper studio lp but a live one, showing her skills to sing soft and sour ballads about couples cheating, interbreeding, stupid habits.
Her jokes and imitations can be redundant, she has a sensual voice though, and some good lyrics too, a bizzare cocktail perfectly summerized in this hot song literrally meaning... "S-screw me".
J'avais découvert Anais il y a une paire d'années au sein d'un groupe pop funk approximatif, elle faisait du yaourt et avait déjà la pêche.
Depuis elle a promené de tremplins en festivals son "Cheap show" principalement accoustique, alternant chansons douces amères (sur le cocufiage, le metissage, ou les niaiseries des jeunes couples) et imitations redoutables (ça va de Eddy Mitchell à Justin Timberlake).
Souvent drôle, parfois lourdingue, on ne sait jamais vraiment à quel degré prendre ses morceaux mais son tempérament et sa voix devraient la mener loin, la preuve avec ce titre à la fois sensuel et grotesque.
Anais "B-B Baise moi"
For her first album Anais hasn't released a proper studio lp but a live one, showing her skills to sing soft and sour ballads about couples cheating, interbreeding, stupid habits.
Her jokes and imitations can be redundant, she has a sensual voice though, and some good lyrics too, a bizzare cocktail perfectly summerized in this hot song literrally meaning... "S-screw me".
26 novembre 2005
Comfortably dumb
L'album de Tiga arrive finalement début 2006 et fatalement c'est exactement ce à quoi on s'attendait.
Un peu décevant dans la mesure où les meilleurs morceaux sont les singles déjà connus (la triplette gagnante "You gonna want me", "Pleasure from the bass" et "Louder than a bomb") et qu'il figurent dans des versions courtes, que sa reprise du "Burning down the house" des Talking Heads est bien sage, mais tout de même ce disque gadget devrait plaire aux amateurs d'electro pop facile à aimer, évidement remuante avec aussi quelques plages calmes pour chiller ("Down in it").
Pour les tueries dancefloors, on continuera à surveiller ses maxis et également ses remixes idiots et parfaits.
Tiga "Far from home"
Thomas Andersson "Washing up" (Tiga's Na na na na na remix)
Tiga's album finally leaks and delivers no real surprise, the best songs are already known and appear in edit versions and his cover of Talking Heads' "Burning down the house" is way too average.
Anyway it's a good collection of electro pop tunes, easy to enjoy.
For the dancefloor craziness, let's keep checking his forthcoming 12 inches and dumb & perfect remixes too.
Un peu décevant dans la mesure où les meilleurs morceaux sont les singles déjà connus (la triplette gagnante "You gonna want me", "Pleasure from the bass" et "Louder than a bomb") et qu'il figurent dans des versions courtes, que sa reprise du "Burning down the house" des Talking Heads est bien sage, mais tout de même ce disque gadget devrait plaire aux amateurs d'electro pop facile à aimer, évidement remuante avec aussi quelques plages calmes pour chiller ("Down in it").
Pour les tueries dancefloors, on continuera à surveiller ses maxis et également ses remixes idiots et parfaits.
Tiga "Far from home"
Thomas Andersson "Washing up" (Tiga's Na na na na na remix)
Tiga's album finally leaks and delivers no real surprise, the best songs are already known and appear in edit versions and his cover of Talking Heads' "Burning down the house" is way too average.
Anyway it's a good collection of electro pop tunes, easy to enjoy.
For the dancefloor craziness, let's keep checking his forthcoming 12 inches and dumb & perfect remixes too.
23 novembre 2005
Cop that shit
Bonne nouvelle, les jusque là rares Stacs Of Stamina voient leur nouvel album "Tivoli" bénéficier d'une sortie Française la semaine prochaine, peut être grace au casting impeccable de cette galette : TTC, Mike Ladd, la sensation grime Earz et sur ce morceau presque pop (hip-pop ? non c'est de l'eurocrunk nous dit-on) les prometteurs One-Two dont les "wah ouh" assez irrésistibles accompagent joliment le flow canaille de ce crew aux idées larges, comme ça s'entend sur des instrus electro fort réussies. Dépêchez vous y'en aura pas pour tout le monde.
Stacs Of Stamina "Stay beautiful" (feat. One-Two)
Time for some so-called Eurocrunk with swedish sensation Stacs Of Stamina which latest album "Tivoli" features TTC, Mike Ladd and grime artist Earz.
This popish track is co-produced with French promising One-Two whose singing gimmick goes well with their flow and great electronic beats. Don't miss it.
Stacs Of Stamina "Stay beautiful" (feat. One-Two)
Time for some so-called Eurocrunk with swedish sensation Stacs Of Stamina which latest album "Tivoli" features TTC, Mike Ladd and grime artist Earz.
This popish track is co-produced with French promising One-Two whose singing gimmick goes well with their flow and great electronic beats. Don't miss it.
18 novembre 2005
Some girls
Ca faisait un moment que je n’avais pas consacré un billet à un groupe oublié des années 90, alors on va évoquer aujourd’hui le cas Luscious Jackson, typiquement le genre de formation qui si elle était apparue à l’époque d’Internet et de ses buzz miraculeux serait autrement plus plébiscité.
Leur patronyme venait de leur joueur de base ball préféré et ce fut le premier groupe signé sur l’éphémère label Grand Royal des Beastie Boys (la batteuse Kate Schellenbach les avait accompagné lors de leurs début punk) ce quatuor puis trio de filles donnaient dans la pop groovy nourrie de bonnes influences (des Slits à Blondie), avec des paroles malines, des tubes à foison et de superbes ballades.
Un cocktail parfois proche de ce qui fait le succès de Le Tigre aujourd’hui, en nettement plus mélodique.
Elles ont frôlé le succès en 1997 avec l’album « Fever in fever out » et une participation au festival féministe alors en vogue (Lilith Fair) puis se sont séparées après le flop de leur "Electric honey "de 1999, pourtant le plus abouti musicalement, et produit par le légendaire Tony Visconti, sur lequel Pardon My Freedom revient avec deux extraits ensoleillés.
Luscious Jackson "Summer daze"
Luscious Jackson "Alien lover "
Another forgotten band of the nineties, it’s been a quite long time on PardonMyFreedom.
Luscious Jackson were the first signature on Beastie Boys’ now defunct label Grand Royal and they were among the coolest musicians ever, with a mix of pop, funk, and hip hop, always well written and often danceable, like Le Tigre with a decent singer.
Here’s two songs from "Electric honey", their last and most ambitious lp, produced by Tony Visconti.
Leur patronyme venait de leur joueur de base ball préféré et ce fut le premier groupe signé sur l’éphémère label Grand Royal des Beastie Boys (la batteuse Kate Schellenbach les avait accompagné lors de leurs début punk) ce quatuor puis trio de filles donnaient dans la pop groovy nourrie de bonnes influences (des Slits à Blondie), avec des paroles malines, des tubes à foison et de superbes ballades.
Un cocktail parfois proche de ce qui fait le succès de Le Tigre aujourd’hui, en nettement plus mélodique.
Elles ont frôlé le succès en 1997 avec l’album « Fever in fever out » et une participation au festival féministe alors en vogue (Lilith Fair) puis se sont séparées après le flop de leur "Electric honey "de 1999, pourtant le plus abouti musicalement, et produit par le légendaire Tony Visconti, sur lequel Pardon My Freedom revient avec deux extraits ensoleillés.
Luscious Jackson "Summer daze"
Luscious Jackson "Alien lover "
Another forgotten band of the nineties, it’s been a quite long time on PardonMyFreedom.
Luscious Jackson were the first signature on Beastie Boys’ now defunct label Grand Royal and they were among the coolest musicians ever, with a mix of pop, funk, and hip hop, always well written and often danceable, like Le Tigre with a decent singer.
Here’s two songs from "Electric honey", their last and most ambitious lp, produced by Tony Visconti.
17 novembre 2005
Packt like sardines in a crushed tin box
Un tout petit post histoire de donner signe de vie en attendant je l’espère plus de musique ce week-end. 40 jours de grève de transports en commun dans ma ville ça use les pieds, les nerfs mais ça a un bon coté, puisque que l’attente interminable permet d’écouter de longs mixes et albums en entier, voir même des doubles albums.
"Peines de Maures / Arce en ciel pour daltoniens", la dernière galette de La Caution est très bien, pas aussi géniale que les fans le clament sur divers forums mais cela valait largement l’attente.
Le titre choisi n’est pas le meilleur mais a fait tilt dans ma tête, coincé comme dans une boîtes à sardines et entouré d’usagers particulièrement furax, j’aurai bien aimé l’entendre sur des hauts parleurs au lieu du ton monocorde du chauffeur demandant de se serrer d’avantage, c’eut été plus élégant.
La Caution "Dernier train"
This is a track taken form the latest and very anticipated album by one of the most skilled French rap bands.
Some lyrics (“stop complaining, take the last train") were very apropriated one early morning, when I was wedged in a metro between very angry people upsetted by a 40-day long strike.
I wish it could have been played in speakers instead of drivers anouncements, that would have been funnier.
"Peines de Maures / Arce en ciel pour daltoniens", la dernière galette de La Caution est très bien, pas aussi géniale que les fans le clament sur divers forums mais cela valait largement l’attente.
Le titre choisi n’est pas le meilleur mais a fait tilt dans ma tête, coincé comme dans une boîtes à sardines et entouré d’usagers particulièrement furax, j’aurai bien aimé l’entendre sur des hauts parleurs au lieu du ton monocorde du chauffeur demandant de se serrer d’avantage, c’eut été plus élégant.
La Caution "Dernier train"
This is a track taken form the latest and very anticipated album by one of the most skilled French rap bands.
Some lyrics (“stop complaining, take the last train") were very apropriated one early morning, when I was wedged in a metro between very angry people upsetted by a 40-day long strike.
I wish it could have been played in speakers instead of drivers anouncements, that would have been funnier.
07 novembre 2005
I bet you look good on the dancefloor
Cagedbaby viennent de Brighton et osent le format album tout comme Chelonis R Jones de l'excellent label Allemand Get Physical, une même saine obsession pour les deux : de la sueur sur les pistes de danse.
En attendant l'album forcément hénaurme de Tiga, voici deux bombinettes calibrées et ouvertement pop, avec tous les clichés qui vont avec : vocaux, lignes de basse et beats qu'on a entendu mille fois mais on ne s'en lasse pas.
Deux morceaux qui tournent ici et là depuis un petit moment, mais pas assez à mon goût : répandez donc ces deux antidotes imparables à la grisaille ambiante, et comme c'est le début du mois, procurez vous les galettes de ces esthètes, ce sont des amis qui vous veulent du bien.
Cagedbaby "16 Lovers" (Golden Triangle remix)
Chelonis R Jones "Le bateau ivre"
Two dance tracks already released, but I can't stop listening to these pop oriented hits from a Brighton promising band and a singer/producer based in Germany, altogether to make us sweat befire the long awaited Tiga album.
En attendant l'album forcément hénaurme de Tiga, voici deux bombinettes calibrées et ouvertement pop, avec tous les clichés qui vont avec : vocaux, lignes de basse et beats qu'on a entendu mille fois mais on ne s'en lasse pas.
Deux morceaux qui tournent ici et là depuis un petit moment, mais pas assez à mon goût : répandez donc ces deux antidotes imparables à la grisaille ambiante, et comme c'est le début du mois, procurez vous les galettes de ces esthètes, ce sont des amis qui vous veulent du bien.
Cagedbaby "16 Lovers" (Golden Triangle remix)
Chelonis R Jones "Le bateau ivre"
Two dance tracks already released, but I can't stop listening to these pop oriented hits from a Brighton promising band and a singer/producer based in Germany, altogether to make us sweat befire the long awaited Tiga album.
I know you got soul
L'année n'est pas terminée qu'on se languit déjà la prochaîne, car cet hiver encore les âmes esseulées (et les autres, il n'y a pas de raison) pourront se réchauffer avec la dernière livraison de Cat Power.
Album après album, sa musique est de plus en plus accueuillante sans pour autant donner dans le pouet pouet.
Après sa participation au deuxième album de Handsome Boy Modeling School, passé injustement innaperçu, c'est avec les musiciens du vénérable Al Green qu'elle enregistre ce "The greatest" fort attendu.
Le résultat est aussi classe qu'un bon Lambchop, de la soul soyeuse qui se marie étonnament bien à sa voix qu'on avait l'habitude de retrouver uniquement accompagnée de piano ou guitare.
C'est plus riche que tout ce qu'elle a pu faire auparavant, et ça sonne également moins triste mais même parée de ces nouveaux atours, c'est toujours aussi touchant. Chapeau bas Miss Marshall.
Cat Power "Lived in bars"
Handsome Boy Modeling School "I've been thinking" (feat. Cat Power)
A soathing song from the forthcoming Cat Power album due to january, recorded with Al Green backing band.
Beautiful as usual, reminding how soulful was her collaboration to the latest and overlooked Handsome Bpy Modeling School disc.
Album après album, sa musique est de plus en plus accueuillante sans pour autant donner dans le pouet pouet.
Après sa participation au deuxième album de Handsome Boy Modeling School, passé injustement innaperçu, c'est avec les musiciens du vénérable Al Green qu'elle enregistre ce "The greatest" fort attendu.
Le résultat est aussi classe qu'un bon Lambchop, de la soul soyeuse qui se marie étonnament bien à sa voix qu'on avait l'habitude de retrouver uniquement accompagnée de piano ou guitare.
C'est plus riche que tout ce qu'elle a pu faire auparavant, et ça sonne également moins triste mais même parée de ces nouveaux atours, c'est toujours aussi touchant. Chapeau bas Miss Marshall.
Cat Power "Lived in bars"
Handsome Boy Modeling School "I've been thinking" (feat. Cat Power)
A soathing song from the forthcoming Cat Power album due to january, recorded with Al Green backing band.
Beautiful as usual, reminding how soulful was her collaboration to the latest and overlooked Handsome Bpy Modeling School disc.
02 novembre 2005
IPC subeditors dictate our youth
Faire le dj pour des soirées étudiantes, c'est plutôt amusant, même payé au lance-pierres (plus des boissons à l'oeil, pas fou) et en devant se lever tôt le lendemain pour le gagne pain officiel, beaucoup moins marrant.
Après s'être mis(es) minable pendant la happy hour, les kids au look etudié ne bougent pas systèmatiquement leurs fesses mais repartent généralement avec le sourire, sauf quand on ne passe pas leur tube préféré de System Of A Down, pourtant reclamé à corps et à cris.
Cela permet aussi de jauger ce qui marche en dehors des circuits d'initiés (bloggeurs, lecteurs de webzines, abonnés à MTV2 etc) et globalement ce sont toujours les mêmes noms qui reviennent : les métalleux précités, Cure, Pulp, Bloc Party, Arcade Fire j'en passe et des plus problèmatiques.
Surprise la dernière fois, deux poppeuses Parisiennes en goguette, probablement abonnées au NME, se dandinent comme des furies sur art brut et supplient de passer deux groupes inconnus au bataillon, plutôt pas mal dans le genre rock qui fait danser les filles.
Peu d'infos sur le premier, qui convoque la voix de PIL et le saxo de X-Ray Spex sur un single, le second est déjà plus "connu", ayant eu les honneurs d'un post printanier sur la Blogothèque.
Twisted Charm "London scene"
Black Wire "Hard to love, easy to lay"
Here's two young-ish bands I discovered last week djing in a student party, advised by some cool indie chicks, die hard fans and probably Nme readers.
Twisted Charm remind me of a mix between PIL (especially the singer's voice) and X-Ray Spex (that bloody saxophone), Black Wire is kinda ok too, at least it changed from the weekly System Of Down requests :-)
Après s'être mis(es) minable pendant la happy hour, les kids au look etudié ne bougent pas systèmatiquement leurs fesses mais repartent généralement avec le sourire, sauf quand on ne passe pas leur tube préféré de System Of A Down, pourtant reclamé à corps et à cris.
Cela permet aussi de jauger ce qui marche en dehors des circuits d'initiés (bloggeurs, lecteurs de webzines, abonnés à MTV2 etc) et globalement ce sont toujours les mêmes noms qui reviennent : les métalleux précités, Cure, Pulp, Bloc Party, Arcade Fire j'en passe et des plus problèmatiques.
Surprise la dernière fois, deux poppeuses Parisiennes en goguette, probablement abonnées au NME, se dandinent comme des furies sur art brut et supplient de passer deux groupes inconnus au bataillon, plutôt pas mal dans le genre rock qui fait danser les filles.
Peu d'infos sur le premier, qui convoque la voix de PIL et le saxo de X-Ray Spex sur un single, le second est déjà plus "connu", ayant eu les honneurs d'un post printanier sur la Blogothèque.
Twisted Charm "London scene"
Black Wire "Hard to love, easy to lay"
Here's two young-ish bands I discovered last week djing in a student party, advised by some cool indie chicks, die hard fans and probably Nme readers.
Twisted Charm remind me of a mix between PIL (especially the singer's voice) and X-Ray Spex (that bloody saxophone), Black Wire is kinda ok too, at least it changed from the weekly System Of Down requests :-)
01 novembre 2005
Garden of Earthly Delights
Vous reprendrez bien un peu de neo-disco ?
Kelley Polar est une des signatures du label Environ de Morgan Geist, l'homme a qui on doit le fameux remix de "House of jealous lovers" (tellement bon qu'il s'est retrouvé sur l'album des Rapture à la place de l'original), également moitié du duo Metro Area.
Homme de goût assurément, originaire de Croatie, Kelley Polar évolue un peu dans le même genre que son mentor, sa musique est plein de clap-claps, de violons synthétiques, avec des chansons pour danser les mains en l'air, la larme à l'oeil et le sourire aux lèvres.
On pense à Junior Boys et à toute une rimbambelle de néoromantiques, on appuye très souvent sur repeat/random, et on se languit la fin du mois pour mettre la main sur ces "Love Songs of The Hanging Gardens" hédonistes et intimistes.
Kelley Polar "Here in the night"
Croatia-born Kelley Polar is signed on NYC Morgan Geist's label Environ Records.
His new album "Love songs from the hanging gardens" is a beautiful mix of disco and electronica, with deep vocals, synth violins and clapping beats.
For those who like Metro Area hedonism and Junior Boys romanticism, don't miss it.
Kelley Polar est une des signatures du label Environ de Morgan Geist, l'homme a qui on doit le fameux remix de "House of jealous lovers" (tellement bon qu'il s'est retrouvé sur l'album des Rapture à la place de l'original), également moitié du duo Metro Area.
Homme de goût assurément, originaire de Croatie, Kelley Polar évolue un peu dans le même genre que son mentor, sa musique est plein de clap-claps, de violons synthétiques, avec des chansons pour danser les mains en l'air, la larme à l'oeil et le sourire aux lèvres.
On pense à Junior Boys et à toute une rimbambelle de néoromantiques, on appuye très souvent sur repeat/random, et on se languit la fin du mois pour mettre la main sur ces "Love Songs of The Hanging Gardens" hédonistes et intimistes.
Kelley Polar "Here in the night"
Croatia-born Kelley Polar is signed on NYC Morgan Geist's label Environ Records.
His new album "Love songs from the hanging gardens" is a beautiful mix of disco and electronica, with deep vocals, synth violins and clapping beats.
For those who like Metro Area hedonism and Junior Boys romanticism, don't miss it.
The first cut is the deepest
Tellement attendu qu'on ne l'attendait plus.
Les vétérans du groove Coldcut donnent finalement une suite à leur "Let us play" de 1997 (on parle vrai album, pas remix ou maxi) et ils ne reviennent pas seuls, puisqu'il y a plein d'invités sur ce "Sound mirrors" : le généreux en featurings Roots Manuva, Jon Spencer, Mike Ladd et d'autres que je n'ai pas identifié aux premières écoutes.
Leur site est en construction et l'album disponible dans quelques semaines, je ne pourrais donc pas vous dire quelle demoiselle chante sur le second morceau en écoute mais mis à part le single, c'est le titre le plus catchy de ce nouvel objet où se téléscopent hip hop, rock, dub et electro, à priori pas très novateur mais qui devrait dévoiler de nombreuses richesses telles que celles auquel le duo nous a habitué dans les années 90.
Coldcut "Everything is under control"
Coldcut "This island earth"
Two brand new tracks from the forthcoming Coldcut, eight years after their latest proper realease "Let us play".
First single features Jon Spencer and Mike Ladd, but I didn't recognize the girl who's singing on the second track I've chosen, we'll know that when their site reopens or when the record be available.
Les vétérans du groove Coldcut donnent finalement une suite à leur "Let us play" de 1997 (on parle vrai album, pas remix ou maxi) et ils ne reviennent pas seuls, puisqu'il y a plein d'invités sur ce "Sound mirrors" : le généreux en featurings Roots Manuva, Jon Spencer, Mike Ladd et d'autres que je n'ai pas identifié aux premières écoutes.
Leur site est en construction et l'album disponible dans quelques semaines, je ne pourrais donc pas vous dire quelle demoiselle chante sur le second morceau en écoute mais mis à part le single, c'est le titre le plus catchy de ce nouvel objet où se téléscopent hip hop, rock, dub et electro, à priori pas très novateur mais qui devrait dévoiler de nombreuses richesses telles que celles auquel le duo nous a habitué dans les années 90.
Coldcut "Everything is under control"
Coldcut "This island earth"
Two brand new tracks from the forthcoming Coldcut, eight years after their latest proper realease "Let us play".
First single features Jon Spencer and Mike Ladd, but I didn't recognize the girl who's singing on the second track I've chosen, we'll know that when their site reopens or when the record be available.
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